La voie royaleL’autre
voie est courte et, à l’inverse de certains dons qui - chemin
faisant - sont détournés de leur but en partie ou en totalité,
la totalité du calcium injecté se retrouve dans les os.
C’est la voie directe, la voie royale. Dès son arrivée
dans l’os, le carbonate de calcium est immédiatement utilisé
par les cellules de la moelle osseuse. Cela
implique deux conclusions : Un large apport calcique est nécessaire
pour que le fonctionnement de notre organisme se fasse dans les meilleures
conditions possibles. Cet apport calcique ne peut se faire qu’en
l’introduisant massivement directement dans l’os. Seule la
voie chirurgicale peut réaliser cet objectif. La réponse est simple et elle ne m’appartient pas. Il suffit de regarder le comportement post-opératoire des patients. Il suffit d’observer leur convalescence. Il suffit de constater la rapidité avec laquelle se produit leur rétablissement. Il est clair toutefois que cette constatation subjective - purement empirique - et qui de ce fait doit être critiquée, ne constitue pas une preuve de la réalité de cette observation. Il suffirait d’en faire la démonstration de la façon suivante. On injecterait chez le rat rendu ostéoporotique du carbonate de calcium marqué dans un os et l’on examinerait à des périodes successives le devenir de ce calcium marqué dans les organes. La découverte de ce traceur dans ces organes serait déjà la preuve de leur besoin et confirmerait que ce site osseux est bien le seul pourvoyeur de ce traceur. Quant aux effets de bien être sur l’état général, il faudra inventer des tests pour le mettre en évidence. Il suffira d’un peu d’imagination. « Imagination is more important than knowledge ! » En savoir plus : quelques chiffres sur le métabolisme du calcium
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